Tests -
Xbox 360
|
Écrit par Latin Cygnus
|
Editeur : Take 2 Interactive
Développeur : Rockstar Games
Genre : Libre / Action / Courses
Difficulté : Difficile
Durée de vie (histoire) : Envrion 30h minimum
Joueur(s) : 1 (jusqu'à 16 online)
Langage : Anglais (VOSTF)
Date de sortie : 29 avril 2008
Terminé : Oui
|
Premier épisode de la célèbre saga sur nouvelles génération ! Comme d'habitude certaines voix vont s'élever, les joueurs, se régaler !
Et pourtant
Passons sur toutes les polémiques autour du titre de Rockstar pour se concentrer directement sur le jeu. Pour être honnête, j'ai détesté GTA IV. Au moins pendant les 5 premières heures de jeu durant lesquelles je promettais de ne pas aller plus loin. Une maniabilité rigide contre une difficulté exigeante, une histoire qui commence mollement et des personnages qui ont du mal à nous faire accrocher au départ. Et pourtant, autour de moi tout le monde m'assurait que c'était une bombe, les personnages intéressants et le jeu réellement prenant. Je me suis donc forcé, un peu, avant d'adhérer et de me sentir idiot. Car GTA IV est bel et bien ce titre référence que tout le monde décrit.
GAMELYMETRE
83%
REALISATION
|
16/20
|
Certaines textures, visages et animations font datés, mais le travail artistique et minutieux effectué pour restituer l'univers du roman force le respect.
|
IMMERSION
|
18/20
|
Tellement complexe qu'on s'y perd
au moindre manque d'attention. Un jeu qui force à être attentif mais qui
n'a négligé aucun paramètre pour nous aspirer dans son univers. A
commencer par le côté sonore, fantastique en tout point, qui contribue fortement à nous donner des sueurs froides tout au long de la campagne.
|
PROGRESSION
|
16/20
|
La
difficulté est plus élevée que la moyenne, notamment avec les nombreux
impératifs liés à l'environnement. Le jeu plutôt long pour
un FPS, peut-être trop ici car certaines longueurs se font fortement ressentir par endroits (impression de refaire certains niveaux) et la somme d'informations (lieux, personnages, anecdotes...) est difficile à digérer pour tout comprendre lors de notre première partie.
Les développeurs se sont toutefois appliqués à varier au maximum les objectifs proposés. Infiltration, affrontements, escortes et couvertures s'alternent avec les phases de dialogues et de recherches sur les différentes stations traversées. Linéaire dans son ensemble, mais quelques rares actes peuvent impacter le scénario.
|
MANIABILITE
|
16/20
|
Artyom parait bien lourd comparé à certains mutants. Le sentiment d'être une proie n'en est que renforcé mais cela a aussi tendance à rendre fou lors de certaines phases. Allumer un briquet pour lire une boussole est très réaliste mais aussi lourd sur le long terme, notamment pour les joueurs pressés.
|
FUN
&
GAMEPLAY
|
17/20
|
En dépit de quelques défauts, Metro 2033 est la preuve que les FPS peuvent se démarquer de la concurrence en puisant habilement dans un univers riche et prenant. Une bouffée d'air frais pour le genre, un comble pour un jeu à l'atmosphère étouffante.
|
(Screenshots éditeur)
|